Les Beastie Boys sont devenus sales et Limp Bizkit encore plus vulgaire.
Cailleras des cités pavillonnaires, lascars de la banlieue ouest parisienne, Tony Montana des classes moyennes aisées, des gros durs, des dangereux, ça aime la bagarre parce que ça en impose et qu’ça trempe les culottes !
3 blanc-blecs aux cœurs de gangsta qui ne peuvent s’empêcher de saturer le groove. Du coup ça crache, c’est gras et c’est lourd, ça fait smurfer les hardos et pogoter les B-boys. Ça envoie du fat dans ton walkman avec une cassette 17 titres saucissonnée par Francis Caste et pète tout dans les bars avec un crew qui enquille et démoule.
Si le bouc est à satan, leur emblème sera la chèvre.
Mais bad ass.
The Wiggar Overdose, il n’y a que tes oreilles pour trouver ça sérieux.