Quand, à la rédaction de La Grosse Radio Reggae, on décide de parler de tel ou tel artiste, la moindre des choses est d'en savoir un minimum sur le sujet. On ouvre alors son moteur de recherche favori, et on fouille.
Sur ce coup là, avec l'aide de notre rédactrice en chef Mag, rien n'a été facile pour glaner des informations, le géant américain nous dirigeant vers un groupe homonyme, mais plus orienté punk, ce qui ne nous intéresse que moyennement ici voyez-vous, même si parfois j'aime bien remonter quelques années en arrière.
Nous avons finalement pu obtenir un bout de bio qui n'était pas de trop.
The Entropics (ceux qui nous concerne donc), est né d'une bande de musiciens venant de différents univers et courants musicaux, plutôt prêts à se réunir dans une soirée pour une jam session dès que l'occasion se présente.
Tous sont liés par la musique reggae, avec un attachement particulier aux mélodies.
Cela fait bientôt dix ans que Pablo (chanteur/batteur) compose des morceaux, dont certains de cet EP.
L'histoire débute vraiment en 2013, quand des membres de la tribu décident d'enregistrer un disque qui financera les enregistrements studio, pour donner vie à leur premier mini opus intitulé Take Control, et sorti fin Octobre.
Quelques jours après, ils nous ont dévoilé un premier extrait "She Works".
On sent d'entrée une base bien roots aux couleurs de leurs influences, sans occulter le pouvoir de la révolution numérique.
Ce titre, traite de la condition féminine en général, celle qui courbe l'échine au travail depuis des années pour être l'égale de l'homme, parfois dans des conditions difficiles.
The Entropics - "She Works"