En cette soirée d'ouverture du Printemps de Bourges, peu après qu'elle ait joué devant quelques milliers de personnes dans le grand chapiteau du Phénix, Giédré nous fait le plaisir de nous accorder un interview.
Il faut dire qu'il y a des artistes qui comptent dans la vie d'un journaliste. Par exemple, imaginez la chance d'avoir pu parler, au début de leur longue carrière, à des personnages tels que Johnny, Sheila, Chantal Goya, Chimène Badi, Tina Arena ou même Michael Jackson.
Et croyez mon petit doigt, il sait lui que Giédré est vouée à une grande carrière et j'espère bien qu'elle saura se souvenir de cette folle soirée où elle a accepté à répondre à ces quelques questions.
A l'origine, j'avais prévu une simple interview classique, qui serait retranscrite ici, mais devant l'incroyable charisme de celle qui vient d'ouvrir le Printemps de Bourges d'une manière si extraordinaire, j'ai décidé de lui offrir mieux.
J'ai pris mon meilleur matériel (un vieil enregistreur vidéo qu'on ne trouve actuellement plus qu'au marché noir en Roumanie), mon meilleur caméraman (ma main droite, certes atteinte selon l'heure, du tremblement matinal dû à un manque d'alcool ou des conséquences génétiques du Parkinson précoce de mon père) et surtout mes meilleures questions. Celles que je réserve pour les occasions spéciales.
Je vous laisse donc avec Giédré, qui nous raconte qu'elle revenait du festival Rock sur El'Mont, dans les Ardennes près de Charleville-Mézières, où elle a ouvert pour le groupe de death metal/grind-core Napalm Death, mais qu'elle n'y a pas rencontré une des icônes locales à savoir Michel Fourniret. Elle nous parle également de son avenir musical possible, de son nouveau concept d'album sans cd illustré par son dernier opus "mon premier album genre panninni" et nous explique la différence entre un mouton et un agneau.
Et si vous voulez en savoir plus,n'hésitez pas à vous rendre sur son très intéressant site, qui est une oeuvre artistique à lui tout seul.
Allez, comme j'aime les étoiles montantes du star system français, je vous mets un lien ci-dessous vers sa "jolie chanson".
Thomas Orlanth