Ne vous y méprenez pas, il ne s'agit pas d'un nouveau pas en avant vers l'administration électronique, mais une véritable idée de raquetteur de la part de, devinez qui ? La redevance télévision prévue pour financer les télévisions et radios de service publique, c'est à dire des télés et des radios qui rendent service au public est déjà bien contestable, mais la nouveauté est qu'elle devrait élargir son champ d'action en s'attaquant aux ordinateurs...
Comme toujours lorsque la technique évolue et propose des nouveaux services, le gouvernement réfléchit, et quand le gouvernement réfélchit, son raisonnement reste inéxorablement arithmétique, une sorte de trouble additionnel du comportement.
En clair si cette loi passe, amis possesseurs d'ordinateurs qui ne regardez pas la télé, vous devrez vous aquitter de cette taxe qui finance les show de Drucker / Sarkozy, les gémissements des idiotes du Mouv' le soir, et autre fausse radios locales du réseau France Bleu, je n'oublie pas la diffusion de Derick sur France 3 depuis 1872 année de naissance de Bellemarre.
Marre voilà , c'est le mot qui me vient
- Qu'on finance ces médias, pourquoi pas mais dans ce cas ZERO pub
- Qu'on finance ces médias, pourquoi pas, mais pas de concurrence sur le terrain de TF1, la télé de maçons
- Qu'on fincance ces médias, pourquoi pas, mais au moins à la condition qu'on les regarde et écoute
Personnellement je ne regarde pour ainsi dire pas la télé, et quand je le fais c'est pour mater un film sur une chaine satellite payante et privée. Alors payer pour France 2, 3, 4, 5, ca me mettait bien les glandes surtout que le fric est volé maintenant avec la taxe d'habitation et par défaut.
Mais alors, payer la redevance, même si on n'a pas de télé sous prétexte qu'on a un ordinateur et qu'éventuellement peut-être on peut regarder "les chiffres et des lettres" en stream alors que quasiment personne dasn ce pays ne sait qu'on peut écouter des radios libres sur le net ca me fout les glandes
Je ne vous "redois" rien Messieurs des hautes sphères, vos médias sont pourris comme votre sens du partage.
