Alea Jacta Est au Hellfest 2016

Dimanche, 11h05 - Warzone


Juste après Arthemis sur la Mainstage 2, on se dirige vers la Warzone pour la première fois de la journée afin d'aller voir nos amis Toulousains d'Alea Jacta Est que nous avions déjà pu voir un mois auparavant lors du Longlive Rockfest.

Contrairement à la Mainstage 2 une demi-heure plus tôt, la Warzone est bien remplie pour accueillir le combo hardcore Alea Jacta Est. Il faut dire que les Toulousains se sont taillés une sacré réputation en près de dix ans dans l'hexagone grâce à des prestations débordants d'énergies. Déjà en mai lors du Longlive Rockfest, ils avaient réussit à rameuter des membres de groupes internationaux dans la salle durant leur set tellement le public avait réagi de manière ultra positive à la prestation.

Aujourd'hui Alea Jacta Est joue tôt mais cela n'empêchera pas le combo de tout donner encore une fois. Fier de ses racines, on apercevra Eric (batterie) avec un maillot du Stade Toulousain ou encore par support de la scène français, Julien (guitare) avec un tee-shirt des Parisiens de The Great Divide.


Musicalement, Alea Jacta Est nous envoie un hardcore dans la veine de ce peut nous proposer un Madball ou un Sick Of It All avec ce quelque chose en plus, cette touche française/européenne qui fait de chaque titre un tube à part entière. Le public ne s'y trompe et nous avons le droit dès le deuxième titre à un circle-pit pendant que Pierre (basse) imite le lance-roquette avec son instrument - de musique, bien entendu - pour le bonheur des photographes.

Au fur et à mesure que les titres se suivent, les côtés de la scène de la Warzone se remplissent avidement de curieux ayant envie de goûter un peu à l'énergie du combo, une énergie quasi sans commune mesure sur le festival. Sur le dernier titre, Pierre passera au chant pendant que Vincent (chant) enfilera la basse pour un morceau qui enflammera la scène et la fosse du Hellfest. Quelle claque mes amis encore une fois. Le hardcore frais est décidemment une valeur sûre !

Alea Jacta Est, c'est dix ans de musique, de concerts, de rencontres mais aussi un label Useless Pride Records qui va fêter ses dix ans lui aussi à la rentrée avec une tournée française qui passera notamment par Paris au Gibus Live. A ne pas louper !

Photographies : NikolasE 2016 / Facebook : NikolasE. 
Toute reproduction est interdite sans l'autorisation écrite du photographe. 



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