Non, la vie n’est jamais un long fleuve tranquille, parfois, c’est calme et parfois tumultueux, avec des tourbillons pouvant nous attirer par le fond.
Beaucoup d’entre nous pensons que notre destin est tracé, une action, bonne ou mauvaise, en entrainant une seconde, bonne ou mauvaise elle aussi, suite logique de la première, la question que l’on peut se poser :
"sommes nous maîtres de notre propre destinée ?"
Datsé nous livre dans une vidéo sombre, "j’évolue dans ce monde", digne d’un polar ou d’une série telle Braco, un constat de la société actuelle avec un message à la jeunesse. Nemours, une banlieue, une cité, une ville comme il en existe des milliers, sur Paris ou en Province. Parfois on devine, ou découvre furtivement Datsé au détour d’une scène à la façon Hitchcockienne. Des mots qui claquent, percutent, ne laissent pas indifférents sur un riddim soutenu.
Le petit jeune de banlieue qui deale dans l’escalier de sa cité, ou celui qui, à moto, commet un vol à l’arrachée. Un avenir qui peut être écourté soit cramé par une bande rivale, soit à l’ombre derrière une cage.
Et la jeune fille qui se fait des films, grandit trop vite, perd ses repères et ses valeurs, rêvant d’une vie de ‘princesse’ mais se retrouve en bas de chez elle sur le trottoir, se prostituant, ne connaissant que ‘la sueur’ de ses clients et la violence.
Message d’espoir dans un monde de désespoir où l’humain est ami de l’argent facile plus que de son prochain ou de de son voisin, Comme le chante Datsé "il est plus facile de se faire du mal que de s'aimer".
Un tableau noir mis en image par Yanis Djam (créateur de Far away Concept)
Titre dispo sur toutes les plateformes de téléchargements légales :
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et il est le premier extrait de l'Album qui arrive fin 2017 et qui s’annonce fort prometteur vu la qualité de "j’évolue dans ce monde".
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