Shakaponk au 112

 Hello da Monkeys,
 
Hier soir se jouait au 112 un concert d'un groupe forcément connu des auditeurs de la grosse radio car ils sont passés dans le gros Boeuf  aux prémices de leur carrière. Shakaponk est une groupe qui actuellement monte en puissance et j'ai pu le constater lors de ce concert qui, je dois l'avouer, m'a assez surpris.
 
Les lumières séteignent, première partie : "Bienvenue dans le monde magique de" TRISTE SIRE, un groupe duquel on peut attendre beaucoup mais qui finalement ne plaira qu'à peu de personnes sur la longueur. Des compos bien gérées mais une voix nasillarde qui tantôt ressemble à Placebo, tantôt à Alizée diront nous. Ca tire en longueur et ce n'est vraiment pas ma came surtout le petit diablotin accroché à la ceinture du chanteur.
 
Triste sire
 
 
Après cette entrée en oreilles, on passe maintenant aux choses sérieuses. Et c'est un publique, ce qui m'a beaucoup étonné à Terville, nombeux et de tout âge(enfin il y avait tout de même les gamines devant 🙂 ) qui commence à scander le nom de Shakaponk avant de les voir arriver sur scène. Le show commence et ne s'arrêtera que 2 heures plus tard, pour le plus grand plaisir de tous.
 
Je ne pourrais pas vous citer la setList dans l'ordre mais tout leur album y est passé dont le maintenant célèbre "How we Kill Star" qui déchaîne les foules et réveille les morts. Ya pas à dire, Shakaponk ça dépote en live et ce qu'ils font, ils le font bien. Ils jouent un peu avec leur public qui le leur rend bien en sautant et pogotant (bon ça c'st un peu notre faute aussi ... ) pendant les 2 heures du concert. Tout est en place ça joue, le battle entre Goz et Ion vraiment sympa. Bien que leur prestation scenique soit impeccable et que leurs titres soient un appel à sauter dans tous les sens, leurs petits plus sont vraiment ce GOz ou leurs clips projeté sur un écran rond et les différents effets de frah qui met son ombre dessus pour une chanson mais aussi ce chanteur qui fait le synge pendant tout le concert et arrive à mettre une ambiance électrique par ces grimaces et jeux de scène.
 
C'est alors la fin du concert, ça sent la transpiration dans tous les coins, on est épuisé d'avoir sauté pendant 2 heures (en sortant du boulot ...) , mon collègue m'accompagnant (qui fut assez fou et pour ça je l'honore ici-même) s'étant fait faire un jeu de langue de Frah après lui avoir caressé sont torse humide lorsqu'il était au bord de la scène et ayant aussi, je ne sais comment, réussi à se faire "manger la bouche" (plus communément embrassé) par Sam leur chanteuse en fin de concert, la salle se vide doucement.
 
Mais ce qui est sympa au 112, c'est que généralement (et pour la plupart), les artistes viennent boire un coup au bar de la salle après s'être donné sur scène pour rencontrer leur public. Frah étant très occupé, je passe un petit  Monkey Hello à Cédric (Cyril pardon) du groupe pour avoir un peu discuté avec lui à la fin du concert.
 
Shakaponk ont leur public, mettent le feu sur scène, ont un bon album. Ce qu'ils font, ils le font bien et ils ont donc tout pour réussir.
 
We're all Monkeys.
 
Slashsnakit (Cédric)
 


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