Le chanteur du seul groupe de rock français ayant connu un tel succès (Téléphone, 1976-1986) se met à nu sur les textes de Michel Houellebecq.
Un oeil sombre et sérieux, l'autre amusé et joueur, on découvre dans le premier clip de ce nouvel opus le visage de Jean-Louis Aubert en plan serré, exhibant les détails de sa peau un peu marquée par ces années de rock'n'roll et ce sourire toujours si enfantin.
Dévêtu d'une écharpe et de son pull, l'artiste nous livre toute sa tendresse.
Houellebecq lui a répété : “ C’est plus beau que ce que j’ai écrit ! ”
Aubert répondait à chaque fois : “ Mais non, c’était déjà là, dans les textes. ”
Les Parages du Vide, titre mystique pour cet album qui mélange ballades rock et littérature, emmenant Aubert sur le point de fuite des parallèles, la tête entre ciel et terre (pochette de l'album), et en tournée jusqu'au 12 décembre dans des zéniths, palais et théâtres français.